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Putt préhistorique

L'équipe du VDG n'est pas peu fière de vous proposer en exclusivité mondiale

une découverte archéologique tout aussi mystérieuse que celle des géoglyphes de Nazca,

C'est grâce à une photo de la côte de l'Atlantique Ouest réalisée par un satellite militaire américain

que des archéologues gascons ont pu reconstituer numériquement le tracé d'une gigantesque aire de jeu

située dans la plaine abyssale de la côte atlantique qui va de San Sébastian à Belle-Île.

La longueur disproportionnée des fairways ( 87 km pour le n°9 : classé par 4 !) 

a tout d'abord laissé les scientifiques perplexes quant à la nature de ce parcours numéroté.

Selon les estimations des experts, ce tracé daterait l'époque précambrienne.

Le mois dernier, c'est sur un site daté de la même époque, celui de Soorts-Hossegor, 

que fut exhumée une défense de mammouth étrangement sculptée (voir photo).

Le lien entre ces deux découvertes est trop évident pour n'être que le fruit du hasard.

Et, bien que cette théorie les condamne à revoir toutes leurs théories sur le précambrien,

les scientifiques gascons ont été unanimes : ce tracé était bien celui d'un maxi-golf précambrien.

Dans leurs conclusions, les chercheurs ajoutent que, pour y pratiquer leur sport favori, 

nos lointains ancêtres devaient posséder une force herculéenne

 qui leur permettait de cogner comme des sourds (sans doute dans des crânes humains)

pour réaliser des drives et des putts d'une longueur phénoménale.

Cette découverte apporte évidemment un nouvel éclairage

au vieil adage atlante : "Au golf, le gars cogne"

qui aurait donné son nom à cette portion du littoral franco-ibérique.

Toujours motivé par le souci de vérifier nos informations,

le VDG a dépêché sur les lieux de cette découverte,

un éminent spécialiste de l'époque précambrienne : le professeur P. Le Goff.

Après avoir consciencieusement exploré plusieurs trous,

il a découvert qu'un gaz particulièrement malodorant s'échappait des orifices.

Des analyses sont en cours pour déterminer la composition exacte de ces émanations.

Mais un fait est déjà établi : ce gaz infect provoque de violents maux de tête

qui rendent le port du masque à gaz obligatoire.

Car comme nous l'a confirmé le professeur Le Goff : "Le gaz cogne !".