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Imposture scientifique La terre tourne autour du Soleil et aussi sur elle-même. Mais en fait, pourquoi tourne-t-elle ? L'Histoire retient que Galilée fut le premier à trouver la réponse. La gravité serait la principale raison de ce phénomène. Dans l’espace, il existerait plusieurs forces qui attirent les objets : la force du Soleil qui attire les planètes vers lui et celle de l’espace qui les attire dans le sens contraire. Pour résister à ces deux forces, la Terre tourne sur un orbite et sur elle-même. Cette théorie copernicienne est trop simpliste pour être fondée. C'est, pour parler net, une fumeuse imposture. Le VDG a mené une longue et fastidieuse enquête pour rétablir la vérité scientifique. Nous avons ainsi pu découvrir une théorie nettement plus plausible mais jusque-là ignorée qu'a développé l'astronome flamand Patricius Van den Glöeb, contemporain de Galilée. Cette théorie est bien trop complexe pour que nous l'exposions ici en détail. Pour la résumer, nous dirons que c'est le vent stellaire qui est à l'origine de la rotation du globe. La vitesse constante de ce vent est suffisante pour que force centrifuge et force centripète s'annulent permettant ainsi à la Terre de rester "en équilibre" dans l'espace. Van den Glöeb devait baptiser sa théorie du nom de "Vent des Globes". Patricius Van den Glöeb (1564-1642) |
Conformément à la loi de 1881 sur le droit de réponse, nous publions la réaction de l'Episco-Pat. |
Hereticum totalis
Sous les ordres de Benoît XVI a été demandé au savant espagnol Hibernardo Penombras Faujouro
de rétablir la Sainte vérité sur ces allégations aussi spéciales que spatiales.
Après 3 années de travaux, ses conclusions sont claires et nettes :
“L’haltère est ronde, certes, mais elle est plate. La preuve, personne n’a pu la montrer sous sa réalité tridimensionnelle” conclut-il.
Malgré l’étonnement dubitatif de tous les scientifiques et leurs travaux contradictoires,
Hibernardo Penombras Faujouro fut nommé prix Nobel de Théologie en 2007 (et ça le vaut bien !).
Hibernardo Penombras Faujouro (Nobel de Théologie 2007)